Juliette Speranza

Essayiste, poète, auteure

Juliette Speranza

Les rendez-vous de juliette

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19 au 24/03 2024

Semaine De sensibilisation à la Neurodiversité.

Retrouvez Juliette à Apt – Bonnieux – Saignon –
Saint-Saturnin-lès-Apt – 
En partenariat avec la médiathèque de Cavaillon

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L'échec scolaire n'existe pas !

Juliette Speranza, aux éditions Albin Michel

Et si l’échec scolaire n’était qu’un mensonge ? Quel parent n’a jamais essuyé ces sentences sans appel : « votre enfant ne comprend rien », « nous ne savons plus quoi faire de lui », « il n’est pas dans le moule », « les maths ce n’est pas pour elle », etc. Les conseils de classe, les bulletins scolaires sont devenus de vraies angoisses pour les parents et les élèves. Et si l’école n’était plus une chance pour tous mais un échec pour tous ? Le temps est venu de dire la vérité…

Juliette Speranza L'échec scolaire n'existe pas !

Livres et interviews de juliette

Extraits

La normalité et les lois scolaires sont bouleversés, il faut exiger, plus que jamais, une autre construction de l’école, porteuse d’une pédagogie réactive, respec- tueuse des mouvements incessants et de la diversité des intelligences humaines.

La continuité pédagogique ne nous intéresse pas. En annulant notre vie quotidienne, l’épidémie met en évidence son caractère aléatoire. Nous ne voulons pas assurer la survie de cette école. Aujourd’hui, alors que les rythmes, les rituels, les organisations, les exigences,

Il n’y a que ta main. Légère comme le vide et dense de mes folies. Tu as crié. J’ai jeté au sol mes rêves fous. Creusé la pénombre, qu’importe la musique rayée. J’ai creusé la pénombre. Échoué mon corps sous ton ombre. Ta main.

Putain !!! T'as vu toutes les étoiles! (va à la fenêtre) Non, tu ne veux même pas te lever pour venir les voir? Bon, tant pis pour toi, tu ne sais pas ce que tu rates... (Silence)Pardon. Ah. Moi j'adore ça. Regarder les étoiles. Et surtout, surtout, j'adore les compter 1, 2, 3, 4...1, 2, 3, 4, 5... Oh, ça c'est le piège, tu ne sais jamais celles que tu as comptées ou pas.

Je suis passée à l’aube en dessous de chez toi.
Ton balcon pleurait de solitude.
Il y avait deux spectres toi et moi. Dansant sur le temps l’incertitude.
Ta fumée, où était-ce tes cendres ?
Quelque chose est tombé
Comme une pluie de novembre Quelque chose est tombé
Ivre de solitude sous les pluies arides Ce constat m’a glacé les yeux
Voyant ton balcon vide dans l’humide J’étais seule à me souvenir du passé pour nous deux
Tu as traîné dans les étoiles
Et j’ai vite retissé ma toile
Un morceau de ma chair estropiée
De nos tendres guerres enterrées

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