La pièce de Juliette Speranza révèle au public une auteure prodige et géniale. Surtout par le creusement de la langue et le questionnement vif, là où il n’y a pas de mot pour le dire.
Phillipe Laroudie, La Marseillaise
Du théâtre porté à son extrême point d'incandescence et de tension
Jean-Claude Raspiengeas, La Croix
Un spectacle poignant, un récit qui vous prend et ne vous lâche plus, deux comédiens troublants, du vrai théâtre rare et intelligent.
L'hebdo comtadin
La partition splendide de Juliette Speranza, retentit comme une déflagration dont l’éblouissement nous poursuit longtemps après.
Nicolas Arnstam, Froggy's Delight
Un spectacle intense, sans complaisance, qui marque au fer rouge.
Franck Bortelle, CultureCie
Une expérience théâtrale troublante, singulière et brillante
Magazine Costes
C‘est un sans-papiers, mais elle nourrit un grand espoir pour lui, parce qu’elle est la fille d’un vrai progressiste. Cependant, en ce début de siècle frileux, la générosité s’arrête aux portes des foyers clos, volets refermés. La famille est devenue plus importante que la marche du monde et le sort de 29000 malheureux pèse bien peu face aux possessions jalouses du bonheur
avec Benjamin M’ba, Guy Martinez, Laurence Boyenval, Sylvain Marmorat, Pauline Fouilland
Le Quart d’heure de gloire
« Vous êtes confortablement installé dans votre fauteuil, vous avez payé votre billet d’entrée pour admirer l’incroyable Jules, le maître du one man show. Mais pourquoi êtes-vous venus exactement ? Pour l’humour décapant de Jules ? Pour sa perspicacité ? Ou pour son inénarrable doudoune orange ? C’est un mystère que Gabi, le responsable du comité des fêtes local, est déterminé à percer… »
Fruit des retrouvailles entre Christophe Allwright, Alain Granier, et Juliette Speranza, Le Quart d’heure de Gloire jongle entre la tendresse et l’absurde pour interroger notre rapport à la notoriété.
de Juliette Speranza
Mathilde fuit son monde mourant. Au fil de ses errances, elle rencontre des personnages drolatiques et fantastiques tout droit sortis d’une mythologie renouvelée.
PHOTOS DE NATHALIE MALRIC
Un choc quelque part, une nuque de stigmates La terre s’est ouverte sur la route automate Du pistil les tatouages, des pétales le parfum La berge ensanglante une dentelle sans fin.
Jetée quelque part dans une quête insensée Jetée quelque part une route au climat Tropical instable le monde apparaît Une route bleue nuit au plafond de platanes.